Etre comme on le désire tout simplement, grâce à la chirurgie & la médecine esthétique en Tunisie avec MEDHANNIBAL.
A l’aube de la chirurgie esthétique
La chirurgie esthétique trouve ses racines dans la médecine militaire. Au début, le but était de modérer les traces de blessures infligées aux soldats, surtout pour les brûlures profondes. Ensuite, les chirurgiens voulaient trouver des solutions reconstructrices pour les os écrasés et refermer les plaies de grandes dimensions.
A partir des années 1930, les chirurgiens commencent à
s’intéresser au visage par l’intervention de débridement profond. Une intervention où on retire les tissus nécrosés ou infectés des plaies pour favoriser la transposition des tissus sains et accélérer leur formation. Les brûlures sont traitées tant chez les militaires que chez les civiles progressivement à travers des interventions chirurgicales multiples et des greffes en série.
Après la guerre
Après la fin de la 2ème guerre mondiale, les américains se sont intéressés aux blessures causés par l’usage des armes nucléaires au Japon. Les plasticiens les plus réputés de cette période, notamment plusieurs canadiens, étaient engagés dans cette mission. C’est dans ce cadre qu’a paru la technique d’injection d’huile de silicone pour l’augmentation du volume mammaire. Une technique déplorable qui a été attribuée au japonais à tort au début des années 1950.
Dans cette même période, des interventions en profondeur de la poitrine et du visage sont entreprises pour corriger les malformations. La commercialisation de l’expertise des plasticiens commence par des promotions improvisées. C’est l’époque de la chirurgie esthétique en douce par définition. Des équipements et des procédures chirurgicales irrégulières ont été inspirés de brevets expirés.
Les sixties
De nombreuses aventures cliniques et des essais probants se sont révélés au Québec. Mais à cette époque on implantait tout : métaux et alliages variés, plastique, éponges de consommation courante, mousse synthétique, rubans de polyéthylène, etc…Le Québec était le plus grand centre de consommation d’implants mammaires.
Le gel de silicone était lancé aux Etats Unis en 1963 par Frank Gerow (clinicien canadien) et Thomas Cronin (chirurgien américain). C’est en commercialisant cet implant que la consommation des américains a dépassé celle des québécois surtout avec la législation et la règlementation progressive des implants et instruments médicaux à partir de 1976.